C’est combien qu’a s’appelle, déjà?

Cette semaine, je me suis (encore!) fait appelée Marie-Claude, par deux de mes professeurs. Bon, je sais, c’est pas si grave et j’en ai l’habitude : Claire, Marie-Claude, Marie-Pierre, Marie-Christine, Annie-Claire, Annie-Claude, c’est pas la première fois! Mais tout de même, venant de deux personnes qui me connaissent depuis septembre, c’est chiant! Franchement, je sais bien que lu sur une feuille d’examen, Marie-Claire ça peut ressembler à Marie-Claude, mais crime bine, vous voyez ben qu’y a pas de grosse barre qui monte entre le « cla » et le « e ».

Plus jeune, j’aimais pas trop ce nom. Tsé, quand cinq de tes amis ont des matantes ou des grands-mères qui ont le même nom que toi, c’est ordinaire! Tout ça parce que ma mère trippait sur Richard Séguin (sa sœur jumelle s’appelle Marie-Claire) et la chanson de Jean-Pierre Ferland, où il dit s’amuser à faire des bébés sur un radeau avec Marie-Claire. Y’en ont eu plein et le plus vieux s’appelle Jean-Pieeeeèèèèeeeerrrrreeeee. (Pis le pire dans tout ça, c’est que la mère de J-P s’appelle même pas Marie-Claire, c’était sa voisine sur qui il avait un kick…merci à FLASH de faire des entrevues de fond aussi pertinentes!)

N’empêche, y’a quand même des points positifs : au primaire et au secondaire, j’étais la seule avec ce nom (et je suis certaine que si on fouille les archives de l’école de l’Étincelle, je suis la seule de l’histoire!). J’ai aussi un magasin et un magazine, qui est mentionné au tout début de la chanson « femme libérée »(Cookie Dingler est toujours aussi cool, après toutes ces années! Je me dois d'ajouter qu'il danse comme un dieu!...euh NON!)

Jeudi, une amie m’a fait découvrir une autre chanson : « The Collection of Marie-Claire » de Daniel Lanoie. Elle raconte l’histoire d’un gars éperdument amoureux de Marie-Claire, danseuse de poteau professionnelle. Bref, j’en viens à constater, que les Marie-Claire des chansons font battre tous les cœurs, mais sont des guidounes finies. Wow! N’empêche, entre ça et Candy…Marie-Claire c’est plus propre!

Mais bon, je l’aime tout plein mon nom. Et je remercie chaque soir mon père d’avoir convaincu ma mère de ne pas m’avoir appelée Guenièvre! (Maudit sois-tu, Lancelot, toi qui rends les femmes nouilles avec ta belle geule!)J'aurais surement j'amais eu d'amis!