Vendredi soir. Bien installée dans mon lit, mon ordinateur sur les genoux. Je regarde le cadran depuis maintenant 3 heures. Il affiche maintenant 2 h 57. J'ai les yeux grand ouverts, des idées plein la tête. Des tas de choses que j'aimerais écrire, raconter, crier, extirper de ma tête, de mon coeur, de mon corps...
Mais je suis bloquée.
C'est pas le syndrôme de la page blanche, c'est celui des doigts crispés, du cerveau qui refuse d'ordonner, de guider.
L’obligation de prier à temps pour un musulman de Montréal!
Il y a 5 heures
1 commentaire:
Quand ça arrive, ça donne de l'insomnie, rien ne sort malgré qu'on se répète en tête ce qu'on tient à dire..jusqu'à ce qu'on l'oublit en s'endort!
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