jeudi 25 novembre 2010

tortue

Quand vous regardez une personne. Que voyez-vous?
Quand vous jugez cette personne. Que savez-vous vraiment d'elle?
Quand vous imaginez ce qu'elle peut être, vivre, ressentir, comprendre, voir. Qu'imaginez-vous?

Quand les gens vous regardent. Que voient-ils?
Quand vous mentez pour avoir l'air plus fort. Que pensent-ils de vous, selon vous?
Quand vous décidez de vous ouvrir. Que disent-ils?

On a toujours peur de ce que les gens pensent. Du moins, je sais que moi j'en ai eu peur. Sûrement encore aujourd'hui. Mais je sais que la personne la plus effrayante, c'est nous-même. C'est le jugement que l'on porte à soi-même. Le fait de se trouver lâche ou incapable, parce qu'on a l'impression qu'on perd le contrôle de notre vie. Le fait de dire qu'on n'a pas le droit. Qu'on doit être plus fort. Même si on se permet de dire aux autres qu'ils ont le droit, eux, d'être moins fort. Parce qu'on est là pour eux. Mais nous, alors là, pas question! On ne veut pas que personne soit là pour soi-même. Et on a l'impression d'être seul, entouré de tous ces gens qu'on aime et qui nous aiment, mais dont on ne prendra jamais la main. À cause de cet orgeuil mal placé. Et on essait de s'aider du mieux qu'on peut. Pas à pas. On retrouve l'envie de faire ce que l'on aimait tant avant.

Moi, j'essaie de retrouver la force d'écrire. Ma plume est cassée. Je ne sais même pas si elle a déjà été bonne. Mais je m'en fou ce soir. Taper ces quelques mots, réentendre le son des doigts qui pianotent sur le clavier, c'est comme un baume sur le coeur.

C'est tout. Si la motivation revient, le reste reviendra pas à pas... de tortue...

mercredi 12 mai 2010

Coup de coeur, pas de masse

Cette semaine, j'ai décrété que le mois de mai serait parfait. Je sais pas exactement pourquoi... peut-être simplement parce que la vie est belle, que les arbres en fleurs à l'université me font sourire et que les quelques sorties du soleil me font du bien!

Parce que j'ai passé de belles vacances de touriste de marde non-assumée y'a deux semaines. Une semaine complète à ne rien faire, à lire, en compagnie de maman et de coloc aux souliers rouges.

Parce que j'ai passé un super anniversaire samedi passé. Parce qu'Il m'aime trop et qu'il m'offre les plus beaux cadeaux du monde. Parce qu'on a vu Vincent Vallières, et qu'on va aller voir Totem et Angus& Julia Stone.

Parce que je vais chercher ma robe retro demain.

Parce que je vais chez la coiffeuse lundi.

Parce que je vais chez le tatoueur mardi.

Parce que j'ai une répète de théâtre le mercredi.

Parce que c'est le bal dans 10 jours et qu'on travaille comme des débiles.

Parce que y'a trop de choses! De belles choses, au moins!

Parce que j,ai découvert que cette chanson s'appelle "Yellow Brick Road" et que les premières paroles sont " just a spoonful of sugar help the medecine go down".

mercredi 24 mars 2010

Back on track

Relire, c'est redécouvrir.
Redécouvrir, c'est retrouver le goût d'écrire.
Retrouver le goût d'écrire, c'est le début de quelque chose.
Le début de quelque chose, c'est beau et excitant.

samedi 13 février 2010

Don't Speak...

Vendredi soir. Bien installée dans mon lit, mon ordinateur sur les genoux. Je regarde le cadran depuis maintenant 3 heures. Il affiche maintenant 2 h 57. J'ai les yeux grand ouverts, des idées plein la tête. Des tas de choses que j'aimerais écrire, raconter, crier, extirper de ma tête, de mon coeur, de mon corps...

Mais je suis bloquée.

C'est pas le syndrôme de la page blanche, c'est celui des doigts crispés, du cerveau qui refuse d'ordonner, de guider.

lundi 1 février 2010

Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie...

... et surtout pas de "pas du tout".

La chanson du jour...